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 L'histoire incongrue du LSD, La Vraie

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thib
deli(useless)
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MessageSujet: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMar 6 Nov 2007 - 15:39

Citation :

L’histoire incongrue du L.S.D.

Le LSD est une drogue de semi-synthèse obtenue à partir d’un composant actif de l’ergot de seigle. Il s’agit probablement d’une des plus puissantes substances psychotropes illusogènes connues à ce jour.

Voici l'histoire rocambolesque mais non moins véridique d'une drogue pas comme les autres qui a laissé son empreinte dans la pop culture et dans un certain nombre de cervelles pour le pire et le meilleur.

Découverte et euphorie :

Tout commence en 1943, à 500 mètres de la frontière française, à Bâle en Suisse. Dans les laboratoires Sandoz (aujourd’hui Novartis), Albert Hoffmann, un chercheur de 36 ans absorbe accidentellement une goutte d’une substance qu’il avait isolée cinq ans auparavant sans en percevoir les applications, le LSD ou Acide Lysergique Diéthylamide tiré d’un champignon ; L’ergot de seigle. Ce même champignon qui au court du moyen-âge provoquait une maladie délirante et mortelle appelée le feu de Saint Antoine. En retournant chez lui à bicyclette, il fut pris trois heures durant, d’une ivresse puissante caractérisée par une stimulation intense de l’imagination. Vingt ans plus tard le LSD deviendra populaire aux Etats-Unis en étant associé à la contre-culture des années soixante pour laquelle les drogues représentaient globalement un puissant levier d’élévation de l’âme dans une perspective qui sciemment ou non, se rapprochait de la religion avec laquelle elle entrait en concurrence. On consommera alors le LSD sur de petits buvards que l’on laisse se imbiber sur la langue.


La popularisation somme toute fort rapide de cette substance ne peut pas s’expliquer sans le concours involontaire de la CIA. Il est habituel que ce type d’inventions, comme toute sorte d’autres d’ailleurs, soit récupérée et développée par les militaires. Ainsi, les Allemands avaient déjà mis au point le MDMA pendant la guerre de 14-18 pour favoriser la résistance au sommeil de ses combattants. Au lendemain de la seconde guerre mondiale les états major du monde entier ont été convaincus de l’aspect primordial du renseignement dans l’issue de la guerre. La CIA s’est alors mis à la recherche d’un sérum de vérité pour le compte de ses activités d’espionnage alors en plein essor. Au lendemain de la guerre, des laborantins étudient la marijuana et concoctent une première « Truth Drug », un sérum de vérité dont les effets sont décevants car les sjuets ont tendance à fabuler. Dès 1947, les services américains se tournent vers la mescaline, un alcaloïde déjà testé à Dachau par les Nazis, la stupeur qu’elle engendre ne les satisfait pas. Les programmes de recherche sur une drogue capable de détruire la personnalité pour rendre bavard l’homme le plus réservé, qu’ils s’appellent « Blue bird » ou « Articot », se succèdent. On y étudie les dérivés de la cocaïne et de l’héroïne, mais il n’en sort rien de vraiment concluant. En 1951, la CIA découvre le LSD et pense avoir mis la main sur le sérum de vérité. Elle le teste sur des individus et après des premiers résultats concluants, il s’avère que le LSD produit des distorsions de la réalité.


Un virage à 180° se produit alors. L’acide apparaît alors à certains comme une protection contre les interrogatoires, les agents pouvant en avaler une pastille s’ils tombaient aux mains de l’ennemi et raconteraient n’importe quoi. Les théories se multiplient de façon contradictoire et dans le contexte très particulier de la guerre froide, la paranoïa gagne. Les Américains commencent à redouter que l’ergot de seigle ne prolifère en Russie, que les Soviétiques constituent des stocks et versent du LSD dans l’eau d’une grande ville américaine et ne la transforme en asile de fous. Les recherches se poursuivent donc. Il est rapidement établi que l’hypothèse de l’empoisonnement de masse est sans fondement mais cette crainte aura servi de « starter » à un afflux de crédits toujours plus importants. Les services américains suivent ainsi de près les expériences du docteur Bercell, un psychiatre qui donne du LSD à des araignées et s’aperçoit que les toiles qu’elles tissent sont parfaitement symétriques!


La CIA, qui a acheté à Sandoz des kilos d’acide et trouvé sa formule lance de nouveaux chantiers. Dans ce cadre, les agents de l’agence en absorbent eux même. Pour les tests l’argent ne manquait pas et Sidney Gottlieb, à la tête d’un service de 50 personnes baptisé MK ultra, a carte blanche pour trouver des cobayes et se consacrer aux recherches sur le LSD. A l’époque presque tout le monde ignore l’existence d’une telle drogue et la CIA jouit d’une impunité totale (certain esprits chagrins diront que ça n'a pas changé). Le LSD a le statut d’arme classée secret défense, protégée par le National Security Act, un décret fédéral qui prévoit dix ans de prison pour toute personne qui en révélerait l’existence.


Des expériences inhumaines :

Ne parvenant pas à trouver assez de cobayes dans les rangs de l’armée, Gottlieb fait appel à ses propres collaborateurs, un comble pour cet homme qui ne boit jamais une goutte d’alcool et deviendra, pour raison d’Etat, l’un des plus grands dealers de l’après guerre. Le 19 novembre 1953, lors d’un cocktail organisé pour son équipe, il a glissé de fortes doses de LSD dans le bac à punch…un carnage. Hunt Olson un biochimiste de 37 ans ne supporte pas les effets du psychotrope et tombe dans un délire paranoïaque qui dure 6 jours et 6 nuits. Il restera terrorisé par le moindre véhicule. La CIA le met au vert et lui trouve un psychiatre de l’agence pour maquiller le diagnostique. Logé dans une chambre d’hôtel de Manhattan, Olson se jette finalement du 13ème étage. La CIA fait passer le drame pour un suicide, l’affaire est close mais en hauts lieux Gottlieb se fait taper sur les doigts, d’autant plus qu’il y a eu d’autres « blessés » à l’issu de ce punch psychédélique.


Officiellement, les expériences de LSD sur des cobayes innocents sont suspendues. En réalité, Gottlieb qui dirige, au sein du projet MK ultra deux équipes concurrentes, le « Technical service staff » et « Office of security » demande à ses collaborateurs de trouver par tous les moyens des cobayes, quitte à les chercher dans la rue. Hunter White, un ancien agent du narcotics bureau lui propose alors d’équiper de mini caméras un petit appartement New Yorkais dans Greenwich Village, une sorte de pouponnière avec miroirs sans teints à travers lesquels les officiels de l’agence pourraient observer les effets des acides sur des victimes qu’il se chargerait lui-même de draguer. Très vite White se retrouve à la tête de plusieurs observatoires de ce type, il drogue ses victimes et se retire pour observer leur delirium tremens qui peuvent durer plusieurs jours. A la demande du service, l’expérience s’étend à plusieurs maisons closes de San Francisco; White s’arrange pour rendre accro les prostituées et droguer à leur insu une bonne partie des clients. Les caméras tournent et Gottlieb sait maintenant que l’être humain sous LSD à de bien curieuses manières de faire l’amour !

Puis c’est l’escalade, les expérimentations sont étendues aux détenus, aux malades mentaux, aux étrangers, et aux minorités ethniques dans des centres d’étude sur la folie. On dealera aussi du LSD à tous les artistes de Greenwich Village qu sera plus tard connu pour être un haut lieu de la Beat Generation. A la fin des années cinquante, les expériences semblent concluantes et l’étendue des applications militaires infinies, la CIA se prend à rêver de coups fumants. A Londres, à Paris, à Berlin, à Stockholm, de jeunes américains choisis parmi les opposants traditionnels de la CIA - intellectuels, gay, communistes sont brûlés au LSD en public. A Montparnasse, à la terrasse du café « Sélect » et en plein jour, Stanley Glickmann, un peintre de 22 ans, bois une chartreuse dans laquelle on a glissé du LSD. Admis à l’hôpital américain de Neuilly, il restera toute sa vie en état de choc neuroleptique. Les soldats américains sont désignés par centaines pour des expériences de plus en plus exigeantes en hommes et en moyens. A Fort Maxellan (Alabama), 200 GI’s se voient administrer de faibles doses de LSD pendant 77 jours! Dans les prisons les tests se multiplient sur les détenus noirs ou politiques. C’est l’euphorie psychédélique… A Montréal, le professeur Evan Cameron, qui travaille pour le compte de la CIA, maintient inconscient pendant des mois un patient avec des doses quotidiennes de LSD et des électrodes qui, placées sur son cerveau, provoquent des chocs électro-compulsifs. La plus délirante de toutes les expérimentations reste l’opération « Derby Hart », une mission spéciale destinée à plomber Fidel Castro. Administré quelques minutes avant un discours à la radio le LSD devait déstabiliser le régime cubain en faisant dérailler son leader en direct. Peine perdue, l’opération est déjouée et les survivants du LSD commencent peu à peu à parler…

Effets indésirables:

En 1963, suite aux exactions du projet MK ultra, Sidney Gottlieb et son second Richard Hemmes, sont progressivement écartés des activités de l’agence. Les plaintes judiciaires se multiplient et les familles de victimes, celle de Hunt Olson en tête, tentent en vain d’alerter les médias. Officiellement supprimées, les expériences sur le LSD glissent en sous main et avec la bénédiction du président Nixon vers l’« addiction research center » et le « Law enforcement assistant administration ». Les expériences se poursuivront pendant des années notamment au Viêt-Nam avant que Sidney Gottlieb et son équipe ne se voient retirer leurs budgets pour absence de résultats et incompétence. Il faudra attendre 77 pour qu’une sous commission dirigée par Ted Kennedy ouvre une enquête sur les expériences inhumaines menées par la CIA en matière de LSD. La plupart des fichiers du Mk ultra avaient cependant été détruits en 73. Le seul aveu de Gottlieb porte sur l’existence du MK ultra et une douzaine d’expériences sur cobayes non consentants.


Entre temps, dans les années soixantes l’expérimentation du LSD s’est démocratisée et a fortement influencé les arts et en particulier la musique. L’année 67 est celle de la marée LSD dont les Stones et les Beatles eux même se font les chantres avec Lucy in the Sky with Diamonds. Avant même que de grands groupes ne développent leurs expériences psychédéliques au travers d’instrumentations de plus en plus grandioses (Le « Soft Machine » de Robert Wyatt en est un bon exemple), de nombreux groupes de musiciens souvent très jeunes ont tenté de retranscrire les sensations psychédéliques avec les outils plus simples et plus accessibles du rock. Ce style appelé « garage psychédélique », a fait florès dans la seconde moitié des années soixante avant de disparaître avec ses innombrables martyrs. Son plus emblématique représentant reste le Pink Floyd de Syd Barrett, mais des formations aussi essentielles que les Doors et surtout le Velvet Underground ont une filiation directe avec ce mouvement de fond partis des Etats Unis. Les musiques noires n’ont pas plus échappé aux influences du LSD même si celles-ci ne sont pas aussi directement à l’origine du mouvement free-jazz de la fin des années soixante. Les années soixante-dix vont même voir apparaître un Psychédélique Funk (P-Funk) avec à sa tête, le groupe Funkadelic de George Clinton.
1960's LSD PROPAGANDA FILM (3'37)

Coté littérature, le psychédélisme a été défini par celui qui restera son pape, Timothy Leary, un universitaire auteur en 64 du livre culte « The psychedelic expérience », cet activiste qualifiera plus tard les Beatles « d’agents révolutionnaires envoyés par Dieu », cette phrase est significative d’une époque où le ferment contestataire à permis de donner aux drogues un statut tout à fait particulier quoique pas si éloigné de l’usage religieux qu’en ont fait toutes les sociétés primitives (idée théorisée en France par Louis Pauwels futur directeur du Figaro Magazine!). Les arts graphiques sont également affectés. Une exposition baptisée « The art of acid » se tient à San Diego, on y a notamment vu pour la première fois un timbre géant de Robert Burroughs à l’effigie d’Albert Hoffmann, l’inventeur du LSD. La pièce est actuellement au musée de New York. Dans le cinéma cela donne des films comme « Easy rider » de Denis Hopper ou « More, more ! » de Barbet Schröder, deux films sortis en 69, à un moment où l’utopie d’un monde sauvé par les hallucinogènes a pris du plomb dans l’aile. Dans ces deux films les héros meurent à la fin d’un trip sans retour. Cette propagation s’explique mieux lorsqu’on sait que ce n’est qu’en 68 que le LSD fut interdit aux Etats Unis, des gens comme Timothy Leary en donnaient jusqu’alors à leurs étudiants… Au fur et à mesure que le LSD s’est popularisé, il a également suscité des réprobations et la vague acide va céder la place à d’autres drogues comme la cocaïne à partir de la fin des années 70 et ses influences artistiques vont décroître avec des mouvements comme le Punk qui au niveau des formes, se définis en réactions face aux dérives des musiques psychédéliques et progressives.




Aujourd’hui, près de cinquante ans après les faits et quelques livres comme celui du journaliste John Marx, le gouvernement n’a toujours pas reconnu son rôle dans les expérimentations sur le LSD en dépit de l’instigation de commissions sénatoriales et d’actions en justices qui ont mis en lumière tout un faisceau de présomptions. Sidney Gottlieb quant à lui, refuse tout commentaires sur cette période et s’est retiré dans un monastère zen...


Source : www.factsonlyagency.com

et nous on utilise ça pour des experiences mystiques avec la tekno en freeparty....

ya toujours un but avec l'acide, trop merveilleux, unique, un concept trop extraordinaire, etc etc

trés bon texte sur le point de vue historique
pour des reports d'experiences uniques faut chercher ailleurs
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thib
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thib



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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMar 6 Nov 2007 - 17:12

les agents pouvant en avaler une pastille s’ils tombaient aux mains de l’ennemi et raconteraient n’importe quoi

Laughing
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMar 6 Nov 2007 - 17:33

Merci Delitek, très instructif ton texte flower
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMar 6 Nov 2007 - 18:09

c'est sauvegardé pc, trouvé sur le net

http://postraumatik.over-blog.com/30-index.html

le texte d'aprés sur 1 puce pour 1 homme (rfid) est bien sympa aussi
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMar 6 Nov 2007 - 20:42

La vidéo est complétement irréaliste !!!!! T'as pas les crocs quand t sous acide !!!! Suspect Euh... enfin c qu'on dit Shocked
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMar 6 Nov 2007 - 21:50

comment ça t'as pas les crocs?
t'as pas faim?

hm si les tartine de nutella, mais c chaud a faire et a manger koi
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMer 7 Nov 2007 - 1:17

carrement qque ta les croc mon pot et je peut ten parler des heures entiere du lsd c mon dada

lol! ouverture desprit lecture et observation des gens

sa ouvre pas mal de truc le lsd surtou sur la logiques des choses sa vien comme un claquement de doigt

jte jure jpourrais faire inspecteur av sa lol!

c enorme

le lsd ya que sa de vraie!!!!!!!!!!!!!!
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMer 7 Nov 2007 - 11:02

ta bien raison sboubi !!!
inspecteur, philosophe, encore faut il retranscrire oralement ce qu'on pense ...
bim tac ça monte au crane (la logique, l'idée) etc... c'est 't'as tout compris' ... c'est tout c'est comme ça, tu comprends...

tu rajoute la touche alice in woderland quand elle se balade dans les chemins et voilà.

tu peux meme regarder les videos des soldats anglais qui montent aux arbres nourrir les oiseaux, pourkoi pas....

parcke c'est aussi des logiques à la con qui t'arrives lol!
("ah wai sont tous moches. c'est vrai ça putain comment ils sont laids")
lol!

des 'hop chté grillé' ou tout simplement quand tu regardes kkun de trippé ya un lien, une connexion immediate, et que tu saches ou pas qui est trippé, le lien te l'indique, je vous jure qu'il ya de la telepathie possible entre amis de confiance, meme moment etc

bref....... look at the skaaaaaai flower
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMer 7 Nov 2007 - 17:06

En même temps si t'as des grandes révélations sur la vie,sur les gens et lmonde qui t'entoure juste en bouffant des petri ça fais chier nan Shocked
Même sans tu peut avancer
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMer 7 Nov 2007 - 17:07

J'ai un dialogue de relou ^^ C parceke j'prends plus rien à base de lsd alors hein



respect Fière quoi
Heureuse pour mon cerveau aussi
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMer 7 Nov 2007 - 20:55

evidemment qu'on peut avancer ça..... et ça marque pas "sur le coup" cke t'as grillé, c'est pour la vie.... lusid t'as plus la meme vision point barre.

les grandes revelations super mystikes, c'est avec.
ce que tu remarques, prends consience, tu l'aurai fais avec ou sans, mais tu l'interprétes pas pareil, c'est tout Smile

que des pensés folles te traversent la téte le samedi, que tu prennes consience de vachement de trucs, certes, mais ça veut certainement pas dire que la semaine t'es inactif hein lol!
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMer 7 Nov 2007 - 22:24

mouais mouais
y'a des conséquences à faire attention aussi (heu c pas du français ça)
ca ouvre l'esprit certe mais ...
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeMer 7 Nov 2007 - 22:38

foutaises Very Happy
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeJeu 8 Nov 2007 - 8:16

sboubi a écrit:
carrement qque ta les croc mon pot !
... Na moi c Ma pote. Perso mon estomac est noué biere mais mon gosier est sec !!!!!!

C'est vrai que tout tes sens sont en eveils et ta façon de penser s'en trouve modifiée. Perception modifée sur tous les bords ! Eteux, il faudrai que tu en dises plus sur tes "conséquences à faire attention " (lol hum ) parceque c'est vrai que si tu veux pas être chéper tout le temps, faut pas en abuser !!!

Délitek : ta tartine de chocolat te cause elle aussi : "me mange pas non non !" ?
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeJeu 8 Nov 2007 - 10:46

nan elle voulait ben que jla manger... mais je devait bien pinaille à la prepaper, ça se marrer bien à coté ...

les consekences à faire attention? wtf? c'est un choix.
deja rien que le fait de croiser ce prod, tu tripperas plus dans la vie (bcp de darons -pas vieux teuffeurs- qu'en fesaient l'experience plus jeune -hé devinez ou ;d-, vous remakerez qu'eux sont plus ouverts d'esprits, et se marre vachmenet plus, dise plus de conneries etc, la faute à qui?)

aprés le probleme de la chimie c'est que ça reste... que ça remonte... alors se mettre une fouille un soir et avir des grosses crackées de couleurs les yeux fermé, ben perso ça mfait rire, y'en a qui péte un cable ...

et aaaaaappaaaaaaaaaaarement, ça a tendance à tiker les gens... au bout d'un moment

sinon consekences direct d'une utilisation intensive sur un trimestre: vois plus rien pareil, bcp plus de smil et compagnie, etc

consekences chez d'autres: trop de 'confusion' mentale ...

donc pour resumez, consekences? c'est un choix, et ça depends des gens .... !

personellement je m'inquité beaucoup moins à manger fond de tripaille que de cachetoner des RC en pensant manger d'la md
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeJeu 8 Nov 2007 - 10:48

et puis fuck le LSD c'est.... intouchable.
noble.
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeJeu 8 Nov 2007 - 18:13

instructif sauf qu'as la premiere ligne deja ya un mot qui existe pas dans le dico

illusogene il la sortit de son chapeau parce que google connait pas ...

et d'apres le livre de albert hoffmann "lsd mon enfant terrible" son premier trip a durer bcp bcp plus de 3 heures car il avait pris l'equivalent de 1200µg de lsd25 soit plus de 10 trip de maintenant

fin voila j'ai pas tout lu parce que deja en 2 paragraphe deux aberation ca me semble pas super serieux
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeJeu 8 Nov 2007 - 18:48

Tres bonne lecture "lsd mon enfant terrible!!" a lire conseillé!!
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeJeu 8 Nov 2007 - 19:22

Citation :
illusogene il la sortit de son chapeau parce que google connait pas ...

certe et alrs? illusion + hallucinogne
pour lui d'aprés son experience le mots hallucinogene ne convient 'plus'

Citation :
et d'apres le livre de albert hoffmann "lsd mon enfant terrible" son premier trip a durer bcp bcp plus de 3 heures car il avait pris l'equivalent de 1200µg de lsd25 soit plus de 10 trip de maintenant

c'ets pas que de la montée qu'il parle dans le texte ? heuresement ke ça n'a pas durer que 3h
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeJeu 8 Nov 2007 - 19:28

10 trips de maintenant
paye ton voyage!!!!!!
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MessageSujet: Re: L'histoire incongrue du LSD, La Vraie   L'histoire incongrue du LSD, La Vraie Icon_minitimeJeu 8 Nov 2007 - 20:57

il est pas mort, il vit bien, c'est un homme trés intelligent

Smile

et il a etait aussi foudroyé par l'effet mystik du lsd puisqu'il s'y est intéressé alors qu'il avait pas du tout synthetiser ce dérivés dans ce but
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